La SPG, c’est chacun de ses membres

La SPG, c’est chacun de ses membres

Au quotidien, le président et le Comité traitent les dossiers d’actualité. Ils  assument les urgences, construisent les avis et les prises de position de la  SPG. L’AD, avec ses cinq séances par année, joue un rôle d’organe législatif  tout au long de l’année. Mais la SPG, c’est aussi chacun de ses membres et  nous avons besoin de l’engagement de tous à tous les étages! La fin de l’année  scolaire est l’occasion de faire un tour des besoins de la SPG.

Tout d’abord, le nombre de membres s’érode  quelque peu ces dernières années. Comme dans  d’autres cantons, les anciens sont nombreux à partir;  et on peine à recruter chez les jeunes, beaucoup  de collègues en font le constat. De plus, les  jeunes enseignants ont moins le sens du syndicalisme  de solidarité, qui soutient l’action sur la  durée. Aujourd’hui, l’adhésion est pour quelques  années, tant qu’on en a besoin, la démission intervenant  dès qu’on ne perçoit pas ou plus de plusvalue  directe et personnelle. Dans ce sens, la nouvelle  protection juridique devrait attirer du monde.  Le corps enseignant primaire va continuer de  rajeunir, il faut absolument que ces nouveaux collègues  adhèrent durablement. 

Le Comité perd cinq de ses membres. Merci à eux  pour leur engagement de ces dernières années.  Trois sont salués en page précédente; nous mentionnerons  les autres dans le prochain numéro de  l’Educateur. Cinq départs, cela creuse un trou.  Chaque membre SPG peut venir renforcer les rangs  du Comité. Pas besoin d’être performant sur un  dossier en particulier. Un temps d’apprentissage  est prévu pour se familiariser avec la position de  délégué dans les commissions. Parmi les départs,  il y a notre rédactrice cantonale, et nous avons  besoin d’une relève pour les pages genevoises de  l’Educateur. Charge passionnante, occasion  unique d’écrire sur sa profession et sur l’actualité  de l’enseignement primaire genevois et de la SPG.  Nous manquons de monde pour les commissions  et groupes de travail en lien avec l’enseignement  spécialisé et l’école inclusive. Ce sont des dossiers  cruciaux qui vont concerner tous les enseignants,  particulièrement dans l’enseignement primaire.  Notre commission interne cherche de nouvelles  personnes pour renforcer son action. 

Certains établissements n’ont pas nommé de  représentant pour la nouvelle AD. Souvent, les collègues  n’ont pas le sentiment de représenter leur  équipe. Lorsqu’ils essaient de parler de l’actualité  de la SPG, ils se heurtent au mieux à de l’indifférence,  au pire à des résistances. Difficile dans ces  conditions de motiver les gens à tenir ce rôle. Là  aussi, nous devons travailler à ce que tous les établissements  envoient un délégué à l’AD, parce que  nous avons besoin que cette instance législative  soit la plus complète possible. 

Le SER prend de l’ampleur et de l’importance. Il est  notre vis-à-vis au niveau de la Conférence intercantonale  des chefs d’instruction publique de  Romandie. Il est essentiel de soutenir ce travail  mené par nos représentants syndicaux. Or, nous  peinons à faire le plein des sièges attribués à la  SPG au sein de l’Assemblée des délégués. Tous les  membres du Comité y sont présents, afin de faire  des liens entre le canton et les préoccupations  intercantonales. Mais nous avons d’autres sièges  à pourvoir. Deux personnes se sont engagées lors  de notre AGO, qu’elles en soient ici remerciées;  d’autres peuvent encore suivre leur exemple. 

Le Cartel traite de dossiers lourds, techniques,  souvent avec un suivi sur plusieurs années. Là  aussi, nous ne faisons pas le plein de nos places  aux Assemblées des délégués. La SPG est une  composante importante du Cartel. Nous devons  montrer notre force, notre présence pour soutenir  les actions du Cartel auprès de notre employeur.  De même, de nombreuses manifestations, grèves  et assemblées du personnel ont été trop peu fréquentées  cette année. Et pourtant, il s’agit de  défendre nos retraites, nos conditions de travail, la  qualité des prestations aux usagers et une certaine  justice sociale. 

Tout le monde peut donner un peu de son temps  pour que la Société pédagogique genevoise  puisse honorer l’ensemble de ses engagements.  Vous n’êtes pas satisfaits de ce qui se passe?  Venez le dire dans les instances qui traitent de ces  dossiers! Annoncez-vous sans tarder au bureau de  la SPG!  

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